La phase d’« accélération » des « essais de prévalidation » du TGV M a débuté récemment. Ce nouveau modèle de train à grande vitesse est conçu pour transporter plus de passagers tout en consommant moins d’énergie.
Le futur TGV M, cinquième génération des trains à grande vitesse conçue par Alstom pour la SNCF, entre dans une phase d’« accélération » de ses « essais de prévalidation ». Initialement prévue pour les JO de 2024, la mise en service de ce nouveau train a été repoussée à 2025.
Les essais ont commencé en juin sur le réseau ferré français et dureront jusqu’à la fin de l’année. En 2024, une phase d’essais d’admission sera réalisée pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché, suivie d’une phase d’essais de pré-exploitation. Les premières rames entreront en service commercial en 2025.
La SNCF a commandé à Alstom 115 TGV M pour un montant total de 3,5 milliards d’euros. La livraison s’étalera sur dix ans. Ce nouveau train roulera à la même vitesse que ses prédécesseurs, soit 320 km/h, mais sera plus écologique, consommant 20% d’énergie en moins et ayant un bilan carbone réduit de 32%. Il pourra également transporter une centaine de passagers de plus que les trains actuels.
Le ministre délégué aux Transports, Clément Beaune, a souligné l’importance du transport et de l’industrie ferroviaires dans la transition écologique. Selon lui, « la bataille du climat passe par la bataille du rail ». Il estime qu’il est nécessaire d’avoir plus de trains en circulation pour les rendre plus accessibles aux voyageurs et maintenir des prix de billets abordables.
Pour la SNCF, le TGV M est une « arme de conquête » et une étape décisive pour le groupe. Son PDG, Jean-Pierre Farandou, espère convaincre les voyageurs de prendre ses trains. Christophe Fanichet, PDG de SNCF Voyageurs, considère cet investissement comme crucial pour répondre à la croissance du trafic voyageurs et à la concurrence.
Le TGV M, un train à grande vitesse plus écologique et plus performant
Le futur TGV M d’Alstom pour la SNCF entre dans une phase cruciale de ses essais de prévalidation. Prévu initialement pour les Jeux Olympiques de 2024, sa mise en service a été repoussée à 2025. Cet avion sur rail de cinquième génération a pour objectif d’améliorer l’expérience des voyageurs tout en réduisant l’impact environnemental.
Les essais de prévalidation, qui ont débuté en juin sur le réseau ferré français, dureront jusqu’à la fin de l’année. Ils seront suivis en 2024 par une phase d’essais d’admission afin d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché. Enfin, des essais de pré-exploitation seront réalisés avant la mise en service des premières rames en 2025.
La SNCF a passé une commande de 115 TGV M auprès d’Alstom pour un montant total de 3,5 milliards d’euros. La livraison de ces trains s’étalera sur une période de dix ans. Contrairement aux précédents modèles, le TGV M n’atteindra pas une vitesse supérieure à 320 km/h, mais il se distinguera par sa sobriété énergétique et son bilan carbone réduit.
Le nouveau TGV M pourra transporter environ une centaine de passagers de plus que les trains actuels. Grâce à sa nouvelle motorisation et à son aérodynamisme amélioré, il consommera 20% d’énergie en moins lors de ses trajets. De plus, il affiche des émissions de CO2 réduites de 32%.
Le ministre délégué aux Transports, Clément Beaune, considère le transport et l’industrie ferroviaires comme la « colonne vertébrale de la transition écologique ». Selon lui, la bataille du climat passe par la bataille du rail. Il estime que pour rendre les trains plus accessibles aux voyageurs et maintenir des prix de billets abordables, il faut augmenter le nombre de trains en circulation.
Pour la SNCF, le TGV M représente une arme de conquête et un investissement clé pour répondre à la croissance du trafic voyageurs et faire face à la concurrence. Son PDG, Jean-Pierre Farandou, espère convaincre les voyageurs de choisir ses trains pour leurs déplacements.
En résumé, le TGV M d’Alstom pour la SNCF est un train à grande vitesse de dernière génération qui se veut plus écologique et plus performant. Grâce à ses essais de prévalidation, il se rapproche de sa mise en service prévue en 2025. Cette nouvelle génération de TGV permettra à la SNCF de continuer à proposer des voyages rapides et confortables tout en réduisant son empreinte carbone. Avec une capacité d’accueil accrue et une consommation d’énergie réduite, le TGV M sera un atout majeur pour le transport ferroviaire en France.
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