Multipliez vos fraisiers : conseils jardin indispensables !

Philippe DONNART


Si les fraisiers dans votre jardin se propagent en déployant des tiges partout, cela signifie qu’ils produisent des stolons. C’est une excellente nouvelle, car toutes les variétés de fraisiers ne possèdent pas cette capacité de multiplication des plantes. Alexandra Jean, une jardinière travaillant au Naturoptère, nous explique cette semaine comment multiplier nos plants pour le printemps prochain. Chaque tige des fraisiers porte de petits bouquets de feuilles qui sont capables de produire des racines lorsqu’ils entrent en contact avec la terre. Alexandra suggère de favoriser ce contact en plantant directement les tiges dans le sol ou en disposant des pots remplis de terreau autour de la plante mère. Il est important d’enterrer légèrement les stolons à chaque bouquet de feuilles et de faire placer les petits pots le long des tiges. Au printemps, les racines se seront développées dans les pots ou directement dans la terre, il suffira alors de couper les connexions entre ces nouvelles racines et la plante mère.

Une nouvelle étude révèle que la consommation excessive de sucre pourrait augmenter les risques de dépression

Selon une nouvelle étude récemment publiée, la consommation excessive de sucre pourrait augmenter les risques de dépression. Cette recherche, menée par des chercheurs de l’Université de Kansas, met en évidence un lien potentiel entre une alimentation riche en sucre et une augmentation des symptômes de la dépression.

L’étude a été réalisée auprès d’un échantillon de participants âgés de 30 à 70 ans, qui ont rempli des questionnaires sur leur consommation de sucre et leur état de santé mentale. Les résultats ont révélé une corrélation entre la consommation de sucre et les symptômes dépressifs, indiquant que les personnes consommant régulièrement de grandes quantités de sucre avaient une probabilité plus élevée de souffrir de dépression.

Les chercheurs ont également découvert que cette association était indépendante de facteurs tels que l’âge, le sexe, le niveau d’éducation et le niveau de revenu. Cela signifie que même après avoir pris en compte ces facteurs, la consommation excessive de sucre était toujours significativement liée à une augmentation des symptômes de la dépression.

Les résultats de cette étude suggèrent que la consommation de sucre pourrait avoir un impact négatif sur la santé mentale, en particulier en ce qui concerne la dépression. Bien que les mécanismes exacts derrière cette association restent encore flous, il est possible que le sucre puisse affecter les neurotransmetteurs du cerveau, comme la sérotonine, qui joue un rôle clé dans la régulation de l’humeur.

Cette étude vient s’ajouter à un corpus croissant de recherches mettant en évidence les effets néfastes de la consommation excessive de sucre sur la santé. Des études antérieures ont déjà montré que le sucre peut contribuer à l’obésité, au diabète de type 2 et à d’autres problèmes de santé, tels que les maladies cardiovasculaires.

Les experts recommandent donc de limiter la consommation de sucre ajouté dans l’alimentation, en évitant les boissons sucrées, les desserts sucrés et les aliments transformés riches en sucre. Au lieu de cela, ils suggèrent de privilégier une alimentation équilibrée, riche en fruits, légumes, grains entiers et protéines maigres.

Il convient également de souligner que cette étude ne prouve pas de lien de cause à effet entre la consommation de sucre et la dépression, mais plutôt une association. Il est donc nécessaire de mener d’autres recherches pour mieux comprendre cette relation complexe.

Une alimentation riche en sucre liée à la dépression : une nouvelle étude renforce les preuves

Une récente étude menée par des chercheurs de l’Université de Kansas révèle qu’une consommation excessive de sucre pourrait être associée à un risque accru de dépression. Les résultats de cette recherche mettent en lumière le lien potentiel entre les régimes riches en sucre et les symptômes dépressifs.

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont interrogé un groupe de participants âgés de 30 à 70 ans sur leur consommation de sucre et leur état de santé mentale. Les données recueillies ont indiqué une corrélation entre la consommation de sucre et les symptômes de la dépression, suggérant que les individus qui consomment régulièrement de grandes quantités de sucre présentent un risque plus élevé de dépression.

Ce lien entre la consommation de sucre et la dépression s’est maintenu même après avoir pris en compte des facteurs tels que l’âge, le sexe, le niveau d’éducation et le niveau de revenu. Les chercheurs ont donc conclu que la consommation excessive de sucre était statistiquement significative dans l’augmentation des symptômes dépressifs, indépendamment de ces facteurs.

Les mécanismes exacts qui sous-tendent cette association entre le sucre et la dépression ne sont pas encore clairement compris. Cependant, il est possible que le sucre puisse affecter les neurotransmetteurs du cerveau, en particulier la sérotonine, connue pour son rôle dans la régulation de l’humeur.

Ces nouvelles découvertes s’ajoutent à un ensemble de preuves grandissant qui met en évidence les effets délétères de la consommation excessive de sucre sur la santé. Des études antérieures ont déjà mis en évidence les liens entre le sucre et l’obésité, le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.

En conséquence, les experts recommandent de limiter la consommation de sucre ajouté, en évitant les boissons sucrées, les desserts et les aliments transformés riches en sucre. Une alimentation équilibrée, comprenant des fruits, des légumes, des céréales complètes et des protéines maigres, est préconisée pour préserver la santé mentale et physique.

Il est toutefois important de noter que cette étude ne prouve pas de manière concluante un lien de cause à effet entre la consommation de sucre et la dépression, mais plutôt une association. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre cette relation complexe et ses implications pour la santé publique.