La Grave : le chantier du Téléphérique de La Meije toujours paralysé par les Soulèvements de la Terre

Philippe DONNART


Les chercheurs du laboratoire de recherche ont été surpris par les résultats de leur expérience. Ils ont découvert que la plante modifiée génétiquement poussait plus rapidement que la plante traditionnelle. Cette découverte ouvre de nouvelles perspectives pour l’agriculture, car cela signifie que nous pourrions potentiellement cultiver des plantes plus rapidement et obtenir des rendements plus élevés. Cela pourrait avoir un impact significatif sur la sécurité alimentaire mondiale. Cependant, il est important de noter que cette plante génétiquement modifiée n’a pas encore été testée pour sa sécurité environnementale et ses effets sur la santé humaine. Plus de recherches seront nécessaires pour évaluer ces aspects avant que cette technologie puisse être largement utilisée dans l’agriculture. Malgré cela, les résultats de cette expérience sont prometteurs et montrent le potentiel des plantes génétiquement modifiées dans l’amélioration de notre approvisionnement alimentaire.

Les militants écologistes toujours en occupent contre le projet de téléphérique de La Meije

Les militants écologistes ont continué à occuper le glacier de la Girose sur le massif de La Meije pour protester contre l’implantation d’un troisième tronçon de téléphérique par la Société d’aménagement touristique de La Grave.

Depuis samedi, les opposants au projet, regroupés sous les Soulèvements de la Terre, ont exprimé leur désaccord en campant sur le site, à une altitude de 3500 mètres. Malgré cela, la justice a rejeté la demande des associations écologistes et a autorisé la poursuite des travaux.

Le président de la FIL Ltd, Fabrice Boutet, a critiqué les militants, les qualifiant de « quatorze hurluberlus qui ne font rien de leur vie » qui entravent ceux qui travaillent. Il les accuse de désinformation et de mensonge pour créer un buzz qui ne prend pas vraiment.

La société a demandé à la préfecture des Hautes-Alpes de trouver des solutions pour faire appliquer la décision de justice et évacuer le campement installé sur un éperon rocheux sous le Dôme de la Lauze.

En réponse à cette occupation, l’association locale des commerçants organise une manifestation de soutien au projet de téléphérique de la SATG/SATA à La Grave le samedi 14 octobre à 11 heures.

Manifestation de soutien au projet de téléphérique de La Meije à La Grave

Le samedi 14 octobre à 11 heures, les commerçants locaux de La Grave se réuniront pour manifester leur soutien au projet de téléphérique de la SATG/SATA.

Cette manifestation fait suite à l’occupation du glacier de la Girose par des militants écologistes qui s’opposent à l’implantation d’un troisième tronçon de téléphérique par la Société d’aménagement touristique de La Grave. Depuis plusieurs jours, ils campent sur le site à une altitude de 3500 mètres pour exprimer leur désaccord.

Bien que la justice ait autorisé la poursuite des travaux et rejeté la demande des associations écologistes, les militants continuent d’occuper le glacier. Pour le président de la FIL Ltd, Fabrice Boutet, leur action entrave ceux qui travaillent et repose sur la désinformation et le mensonge.

Face à cette situation, la SATG/SATA a demandé à la préfecture des Hautes-Alpes de trouver des solutions pour faire appliquer la décision de justice et évacuer le campement installé sur un éperon rocheux sous le Dôme de la Lauze.

Afin de montrer leur soutien au projet de téléphérique, les commerçants locaux ont décidé d’organiser une manifestation le samedi 14 octobre à 11 heures à La Grave. Cette manifestation vise à souligner l’importance économique du projet pour la région et à témoigner du soutien de la communauté locale.

Le projet de téléphérique de La Meije prévoit l’implantation d’un troisième tronçon qui permettrait d’améliorer l’accessibilité de la station de ski et de développer le tourisme. Cependant, il rencontre une forte opposition de la part des militants écologistes qui s’inquiètent des conséquences environnementales de ce projet.